SARINA

L’univers de Sarina est décalé; sa voix ne laisse personne indifférent. Son univers aux frontières de la pop et de la musique classique (Joni Mitchell, Kate Bush, Björk, Agnes Obel), s’inspire aussi de ses voyages en Norvège, en Israël et au Japon.
L'image qu'elle renvoie est déroutante ; une allure frêle pour une femme au caractère bien trempé.
Telle Mulan, Hermione Granger dans Harry Patter, Katniss Everdeen dans Hunger Garnes ou Daenerys Targaryen dans Game of Thrones.
Sa prestance lui valut d'être invitée à chanter sur la Grand Place de Bruxelles, sur le tarmac du GP de Spa Francorchamps et dans le cadre d'événements prestigieux en l'honneur de Sa Majesté La Reine Mathilde de Belgique, de Shimon Peres, en ouverture du concert de Noa, à l'occasion des « Fleurs de Forest» à Forest National ou en duo avec Salvatore Adamo au Forum de Liège.
Sarina rêve et chante dans une quinzaine de langues différentes. Elle fait voler en éclats tous les stéréotypes liés à sa voix, à son style de musique et au fait que ses yeux nous renvoient la lumière différemment.
Elle s'accompagne au piano depuis des années, encouragée par une grande artiste qui lui fait découvrir les coulisses du Music-Hall dès l'âge de 4 ans.
Aujourd'hui, Philippe Decock (le complice artistique de Maurane) a pris le relais derrière son instrument et llan Abou (ZAZ, Yaël Naïm) apporte de nouvelles sonorités à l'univers de Sarina.
Enfin, en coulisses, elle est guidée par Tee, un berger à l'allure fière, élégante et intrépide.
À la manière d'Alice au Pays des Merveilles, Sarina voyage de l'autre côté du miroir, une tasse de thé à la main.
Son monde est rempli de magie, de fantaisie, de couleurs et d'orchestration ; le piano est toujours bien présent, des beats profonds se sont mêlés aux sonorités pop.